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L’association Crépy environnement et qualité de la vie a pris connaissance du dossier de presse concernant le pont St Ladre à Crépy en Valois. Voici les points les plus importants :

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1.L’historique

Le pont St Ladre a été construit par la Compagnie du Nord, propriétaire de la ligne Paris-Soissons, en 1929.

Un procès-verbal établi à cette époque indique que la Compagnie du Nord entretient le tablier, les culées et les garde-corps du pont et que le Service Vicinal entretient la chaussée et les trottoirs.

Depuis, la SNCF s’est substituée à la Compagnie du Nord et le Conseil Département a remplacé le Service Vicinal.

Aujourd’hui environ 7300 véhicules empruntent chaque jour le pont Saint Ladre et parmi eux environ 570 poids lourds. C’est ce trafic de véhicules lourds qui pourrait fragiliser l’ouvrage.

Pendant plus de 80 ans, la SNCF a assuré le suivi de l’ouvrage, conformément à ses obligations. A trois reprises, en 1973, 1974 et 1990, elle a réalisé des travaux de restauration. En 2013, la SNCF a fait savoir par courrier qu’elle comptait reconstruire le pont Saint Ladre avant 2019.

Des échanges sur ce projet se sont poursuivis jusqu’en 2015, sans qu’aucune difficulté n’apparaisse.

Subitement en 2015, la SNCF a fait savoir qu’elle n’envisageait plus de reconstruire le pont, considérant que le procès-verbal de 1929, valant convention, ne l’obligeait plus qu’à l’entretien de l’existant, jusqu’à ce que son état exige une reconstruction à neuf.

Faisant suite à l’abandon de ce projet, le Département a saisi la justice dès 2016 pour qu’un juge établisse clairement les responsabilités pour la reconstruction de l’ouvrage.

Le juge a procédé à la désignation d’un expert, dont les travaux sont en passe de se terminer. Sans attendre le rapport de l’expert, le Département a adressé des courriers à Guillaume Pépy, président de la SNCF et à Elisabeth Borne, ministre des transports.

Ces courriers sont, pour le moment, restés sans réponse. Depuis, l’expert nommé par le tribunal a adressé au Département des éléments par lesquels il indique que l’interdiction de la circulation des véhicules de plus de 3,5 tonnes est nécessaire. Cette injonction est basée sur une étude technique précise au cours de laquelle des sondages ont été réalisés sur le pont. La limitation de tonnage permet de soulager l’ouvrage et d’assurer la circulation de véhicules légers.

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2.Les déviations temporaires

Les conclusions de l’expert qui valent décision de justice et qui s’impose à nous, nous obligent avec la ville de Crépy en Valois, à fermer le pont St Ladre aux véhicules de plus de 3,5 tonnes dès le lundi 22 octobre 2018.

L’une des deux déviations mises en place à partir du lundi 22 octobre va imposer aux véhicules de plus de 3,5 tonnes de passer par la rue Saint Germain, seul axe de la commune permettant à ce joiur de franchir la voie ferrée.

La seconde, une déviation plus large, va inciter les poids lourds en transit à contourner Crépy en Valois.

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La fermeture du pont Saint Ladre aux véhicules de plus de 3,5 tonnes se poursuivra jusqu’à la mise en service d’un nouveau pont.

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Afin de limiter autant que possible l’impact des restrictions sur le pont dans la ville de Crépy en Valois, une étude de circulation, financée à parts égales par nos deux collectivités, va être réalisée très rapidement.

Elle permettra d’identifier les éventuels aménagements à mettre en œuvre dans Crépy en Valois pour fluidifier au mieux la circulation dans la ville.

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3. La reconstruction du pont Saint Ladre

Sans attendre la décision du juge et face à l’inaction complète de la SNCF, le Département a lancé une consultation pour la réalisation de l’étude préliminaire qui va permettre de connaître d’ici le début de l’année prochaine le pont à reconstruire et notamment son emplacement (à la place de l’existant ou à côté) et les caractéristiques techniques de l’ouvrage.

Suite à la réalisation de cette étude, la commune sera associée par le Département pour déterminer la solution à retenir.

En fonction de la décision du tribunal, la reconstruction du pont sera à la charge de la SNCF ou du Département. Quel que soit le maître d’ouvrage du projet, SNCF ou Département, les délais de reconstruction dépendront de paramètres que nous ne maîtrisons pas totalement aujourd’hui :

• Les contraintes techniques ;
• L’exploitation de la ligne ferroviaire par la SNCF ;
• Les autorisations à obtenir de la SNCF pour intervenir au-dessus des voies.

Dans tous les cas, il s’agira d’une opération longue, qui nécessitera au moins deux ans de travaux après avoir obtenu toutes les autorisations.

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4.Le contournement de Crépy en Valois, la solution à terme

Evoqué depuis plusieurs décennies, le contournement de Crépy en Valois est attendu par tous les habitants. Il doit permettre de dévier les véhicules en transit pour que ces derniers ne traversent plus la ville. Il doit aussi faciliter l’accès aux zones commerciales et d’activités de la commune.

Au début de cette année, le Département avait pris la décision de relancer les études pour la construction de cette voie nouvelle. C’était bien avant de recevoir les résultats de l’expertise du pont Saint Ladre. Ce projet s’impose plus que jamais pour améliorer la qualité de vie des habitants, et pour fluidifier la circulation dans le Valois.

Plusieurs études d’approfondissement sont en cours et concerne :

• La mise à jour des études antérieures (socio-économie, environnement) ;
• La définition de variantes supplémentaires ;
• Les reports de trafic sur les différentes variantes.

Elles seront complétées prochainement par une étude spécifique sur le milieu agricole afin de comparer et mesurer l’impact des différentes solutions sur chacune des exploitations.

A l’issue de cette concertation, le Département publiera un bilan faisant ressortir les principales contributions et proposera la solution la plus adaptée pour répondre aux différentes contraintes du site et aux enjeux exprimés.

Quand le Département aura fait son choix courant 2019, des autorisations administratives nécessitant des procédures complexes devront être obtenues de déclaration d’utilité publiques et autres.

Après cette phase, un marché de maîtrise d’œuvre pourra être lancé et les travaux pourront enfin démarrer.

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Dossier de presse

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L’association Crépy environnement et qualité de la vie suivra avec un grand intérêt l’évolution du dossier et notamment la reconstruction du Pont Saint Ladre et enfin, après plusieurs décennies d’attente et beaucoup de déceptions, la construction d’une déviation, permettant de soulager la circulation dans le centre-ville de Crépy en Valois.

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Comité de rédaction de l’association Crépy environnement et qualité de la vie.

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Le Regroupement des Organismes de Sauvegarde de l’Oise (ROSO) a animé un atelier de la concertation le vendredi 30 novembre dans le cadre de la révision du SCOT de la Thelloise

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Le ROSO a été invité par le Vice-président Pierre Desliens à piloter l’atelier de la concertation. Dans une série de plusieurs ateliers thématique, le ROSO a accepté avec plaisir la demande de piloter cet atelier. Déjà associé à la révision du SCOT en qualité de personne publique associée et invitée par la communauté de communes, le ROSO a pu apprécier la qualité du travail mené par les équipes de la communauté de communes. Avec un travail de très bonne précision, Sandra Denizart et son collègue Olivier Bodin mettent en œuvre une vraie analyse de terrain pour appréhender un diagnostic de territoire précis et fiable. Le choix de faire en interne, fait toute la différence avec le travail limité et partiel qu’un bureau d’étude aurait pu faire. Le ROSO animera cet atelier ou sont invités les élus et les associations du territoire avec le jeu de la concertation conçu par le ROSO. Déjà décliné sur les communes de Chambly et Noyon, ce sera une première pour le ROSO, à l’échelle d’une communauté de communes. Gageons que cette initiative montre l’exemple aux derniers récalcitrants de la vraie concertation !

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Le ROSO

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La communauté de communes du pays de Valois devrait méditer et s’inspirer de cette pratique. C’est-à-dire améliorer la concertation avec les associations de défense de l’environnement, notamment dans le cas emblématique du projet d’installation d’un site industriel polluant au centre du bois du roi (Carrière d’extraction de sable et décharge à ciel ouvert). Il semble que le nouveau Schéma de Cohérence territoriale (SCOT) ait été adopté que pour la seule raison de faire plaisir au trio infernal : Picheta – Cosson et Bois du Roi paysagé, c’est-à-dire favoriser des intérêts purement financiers et particuliers.

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La maison médicale pluridisciplinaire gérée par la clinique st Côme, sera construite sur le terrain en face de la nouvelle gendarmerie, rue des Erables et le permis de construire délivré selon la mairie au 1^er semestre 2019 mais certaines sources nous précisent que cette nouvelle maison médicale ne serait qu’au stade de l’avant-projet.

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Notre association maintient la proposition suivante :

La clinique St Côme doit acheter 5000m2 vendus par Mr Callens derrière la maison médicale actuelle pour construire une maison des spécialistes, un centre de dialyses et les services administratifs, auxquelles s’ajouteraient la maison médicale des généralistes, le laboratoire d’analyses médicales et le centre de radiologie. Ainsi se concrétiserait un grand complexe médical pluridisciplinaire, route de Senlis, favorisant l’attractivité de Crépy en Valois.

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Comité de rédaction de l’association Crépy environnement et qualité de la vie.

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Le CDG Express est une liaison expresse entre l’aéroport de Roissy CDG et la gare de Paris-est, longue de 32 km, dont 8 km de voies nouvelles, sans gare intermédiaire et avec un train tous les quarts d’heure pour un tarif de 24€ le billet.

Ce projet ferroviaire permettra d’éviter les encombrements de l’autoroute A1 et le RER B surchargé.

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Toutefois, comme vous pouvez le voir sur le plan ci-dessous, cette nouvelle liaison ferroviaire empruntera un tronçon de la ligne K, entre Mitry-Mory et la gare du Nord avec un risque d’encombrement de cette voie ferroviaire au détriment des voyageurs de la communauté de communes du pays de Valois et d’autres régions plus au nord, déjà bien ennuyés par les nombreux problèmes de circulation sur la voie Paris-Laon-ligne K depuis des années (Nombreux problèmes techniques, nombreux retards etc…).

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L’état avancera la somme de 1,7 milliards d’euros à la société désignée pour entreprendre les travaux. Le dossier est quasiment prêt pour le lancement des travaux en 2019 et l’ouverture de la ligne en 2024, l’année des jeux olympiques.

Mais des oppositions se sont cristallisées avec le dépôt d’un dernier recours auprès du Conseil d’Etat contre la Déclaration d’Utilité Publique (DUP)

Deux autorités indépendantes (l’Autorité environnementale et l’Autorité de régulation des routes et chemins de fer) ont émis des avis critiques.

La première recommande de préciser l’impact du CDG Express sur la ligne de RER B et la deuxième doute de la rentabilité du projet et pointe un montage financier incomplet.

Mais le Conseil d’Etat a rejeté le recours le 22 octobre 2018 et a reconnu d’utilité publique cette desserte ferroviaire.

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La voie semblait libre mais un nouveau contretemps est arrivé : L’un des deux candidats à l’exploitation de cette future liaison ferroviaire entre ROISSY CDG et Paris, Transdev a porté plainte devant l’Autorité de la concurrence contre le groupement constitué par Keolis et la RATP DEV sur cet appel d’offres sous le prétexte que le duopole aurait tenter de décourager les concurrents éventuels.

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Le ministre de la transition écologique et solidaire doit donc désigner le lauréat tout en tenant compte que le groupement Kéolis-RATP fera appel à des trains français Alstom alors que la société Transdev a choisi du matériel suisse Stadler.

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Le ministère de la transition écologique et solidaire attendra-t-il la décision de l’Autorité de la concurrence où prendra-t-il une décision avant ?

Le consortium composé du groupe ADP, de SNCF réseaux et de la caisse des dépôts, chargé par l’Etat de réaliser et de gérer l’infrastructure de CDG Express, demande expressément qu’un exploitant soit désigné avant début 2019. C’est mal parti.

Ce consortium financera ce projet à hauteur de 450 millions d’euros sur fonds propre et par le prêt de 1,7 milliard d’euros accordé par l’Etat.

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Comité de rédaction de l’association Crépy environnement et qualité de la vie.

Ouverture de la réunion publique par Mme Masure qui donna la parole au docteur Jean Limousin, ancien directeur d’un centre de santé qui fit un panorama de la situation médicale en France et qui expliqua le fonctionnement d’un centre de santé :

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1.Un service de santé en pleine évolution à la suite :

• Du vieillissement de la population des médecins (32% ont plus de 65 ans et 47% plus de 60ans) ;
• D’un nombre de médecins en activité en baisse depuis de nombreuses années et des généralistes moins nombreux que les spécialistes depuis 2017. Ce phénomène ne fut pas anticipé par les pouvoirs publics.
• De projections qui montrent un effondrement de la densité médicale. Ainsi en 2030, la densité sera inférieure de 12% à celle de 2009 déjà elle-même en diminution depuis deux décennies avec un numérus clausus qui est passé depuis 1971, de 15 000 médecins formés par an en France à 3500 médecins alors que les besoins sont importants avec le vieillissement de la population et l’augmentation des maladies chroniques.
• D’une importante féminisation de la profession médicale (65% des nouveaux inscrits à l’Ordre) ;
• Des étudiants et des jeunes médecins qui privilégient une activité respectueuse du temps privé avec la stabilité financière du salaire,  une couverture sociale et une formation professionnelle continue ;
• Des médecins qui préfèrent intégrer une équipe de travail et refusent la complexité des tâches administratives et la gestion d‘un cabinet.

La recherche d’une meilleure qualité de la vie pour les médecins généralistes est tout à fait légitime.

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2.Un centre de santé c’est :

• Un statut salarié et une couverture médicale pour tous les personnels ;
• Un dossier médical informatisé et ainsi qu’un dossier administratif partagé entre les membres de l’équipe soignante (médecins, dentistes, infirmières, kinésithérapeutes etc…) ;
• Une équipe médico-socio et administrative pour permettre une prise en charge globale ;
• Des coopérations avec les hôpitaux publics ou parfois privés ;
• Une politique locale de santé avec également des partenaires libéraux pour créer une Communauté Professionnelle Territoriale de Santé.

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Au 1^er janvier 2018, 1592 centres de santé sont en activité.

La maison médicale de Crépy en Valois peut se transformée en centre de santé et être gérée par une collectivité territoriale (commune, communauté de communes, département, EPCI). Une gestion en forte croissance actuellement ou par d’autres organismes à but non lucratif (mutuelle, association).

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Le conseil Départemental de Saône et Loire finance actuellement l’ouverture d’une douzaine de centres de santé. Un exemple qui pourrait être suivi par d’autres départements dont celui de l’Oise où le problème de démographie médicale est également aigü.

Les centres de santé peuvent être subventionnés par le Département, la Région et l’Agence régionale de Santé (ARS).

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3.Le docteur Dahan fit un résumé de la situation actuelle de la maison médicale de crépy en Valois

Comme nous l’avons déjà précisé la maison des médecins généralistes a simplifié ses structures, fortement diminué ses charges et rénové les cabinets médicaux et les salles d’attente.

La réception a été fermée, les prises de rendez-vous sont désormais gérées par une plateforme téléphonique et la propreté effectuée par une société de nettoyage qui a repris les anciennes employées.

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Les médecins généralistes de la maison médicale sont déjà des prescripteurs de la polyclinique Saint Côme et certains de ses médecins spécialistes ont une permanence à Crépy en Valois (urologue, gastro-entérologue par exemple).

Actuellement seuls cinq médecins généralistes, deux spécialistes (ophtalmologiste et cardiologue) et un kinésithérapeute sont encore en activité avec deux médecins pouvant prendre leur retraite à tout moment.

Un laboratoire d’analyses médicales est ouvert mais le SAMU ne fonctionne plus (basé à Compiègne maintenant, à 25 km.)

Cette maison médicale a ouvert ses portes le 6 avril 1974. La ville de Crépy en Valois comptait alors 50 médecins et professionnels paramédicaux (12 médecins à la maison médicale).

Un peu plus d’une dizaine de médecins généralistes exercent en 2018 à Crépy en Valois.

Une petite maison médicale a ouvert ses portes dans la zone industrielle avec un médecin, un kinésithérapeute et une infirmière.

La maison médicale de garde du Valois se trouve à proximité de l’hôpital local.

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Le centre de radiologie est désormais géré (donc racheté) par l’ACRIM, Centre d'Imagerie Médicale de la Polyclinique Saint-Côme, société indépendante dont le siège principal est situé 7 rue Jean-Jacques Bernard à Compiègne. L'ACRIM regroupe 9 médecins radiologues qui exercent en SELARL leurs activités libérales et possèdent 2 autres cabinets (en ville de Compiègne et à Noyon). Le dépassement d’honoraires est pratiqué.

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Pour information : Le cabinet d’analyses médicales et le centre de radiologie ne déménageraient pas.

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4.Le directeur de la polyclinique St Côme a indiqué que l’ARS avait donné son accord pour la création d’un service de dialyse à Crépy en Valois (10 lits). Par ailleurs c’est la mairie qui l’a contacté pour la construction d’une maison médicale pluridisciplinaire.

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5.D’autres interventions :

Arnaud Foubert, ancien maire de notre ville, s’étonne de la construction de nouveaux immeubles d’habitation alors que les médecins ne veulent plus prendre de patients supplémentaires. Il faut donc régler en priorité le problème de la pénurie de médecins généralistes à Crépy en Valois.

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Yves Mouny, président de notre association, avance comme solution l’achat par la polyclinique St Côme d’un terrain de 5000m2 derrière la maison médicale pour installer le centre de dyalise et les services administratifs. Ainsi serait créer un grand ensemble médical, route de Senlis.

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6.Conclusion

Le centre de santé peut être une solution pour améliorer le service médical à Crépy en Valois mais il faut une volonté politique.

Dommage qu’aucun représentant de la mairie ni de la communauté de communes du pays de Valois n’était présent.

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Selon le journal Le Parisien, dans un article du 05 novembre 2018, la mairie est déterminée à poursuivre son projet de construction d’un maison médicale pluridisciplinaire gérée par la polyclinique St Côme, installée en face de la nouvelle gendarmerie. Le permis de construire serait délivré au 1^er semestre 2018 et l’ouverture de l’établissement programmée fin 2020.

Une affaire à suivre puisqu’il faut trouver les médecins généralistes.

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Comité de rédaction de l’association Crépy environnement et qualité de la vie